La nuit tombait lentement sur paris, enveloppant les toits d’une ombre diffuse que seules les lanternes venaient affecter par intermittence. Dans le silence de sa chambre, Éléonore Duprey fixait la seconde lettre posée devant elle, son regard oscillant entre sympathie et émoi. La voyance, qui jusque-là n’avait persisté pour elle https://eduardokruww.azzablog.com/33746568/le-poids-des-données