La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son poste dans l’ombre tamisée de son usine. Son professionnel à tisser, fidèle chien ou chat de ses voyances silencieuses, laissait varier des fils d’or et de soie entre ses doigt. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, tels https://andresuwhpo.tokka-blog.com/34052436/les-fils-du-genie