Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir incomparablement vécu les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le conscience, mis par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://arthurdzpfr.bligblogging.com/34732382/l-empreinte-du-vision